Autres crêperies pour préparer votre crêpe à Marseille 8
Retrouvez ci-après les autres crêperies basées à Marseille 8 suceptibles de vous proposer une crêpe ou une galette à Marseille 8 :
Autres crêperies pour préparer votre crêpe à Marseille
Retrouvez ci-après les autres crêperies basées à Marseille suceptibles de vous proposer une crêpe ou une galette à Marseille :
Recette du moment :La pâte à crêpe
Liste des ingrédients pour 6 pers. 1 cuillère à soupe de Cognac (facultatif), 2 sachets de sucre vanillé, 1 pincée de sel, 4 oeufs, 1/2 litre de lait, 1 cuillère à soupe de sucre en poudre, 250g de farine.
Tamisez la farine un cul de poule. Incorporez le sel, le sucre et le sucre vanillé et ensuite les oeufs et remuez bien. Versez alors le lait petit à petit en remuant constamment pour limiter les grumeaux. Terminez en ajoutant le Cognac.
Pour la cuisson : A l'aide d'un papier essuie tout, badigeonnez d'huile un peu votre poêle. Mettez la à chauffer puis ajoutez une petite louche de préparation mais attention : plus vous déposez de pâte, plus elle sera épaisse et moelleuse et moins vous en déposez et plus elle sera croustillante.
2 cuissons au choix :
Soit vous laissez cuire environ 2 minutes puis vous la placez de l'autre côté et laissez cuire 1 min supplémentaire.
Soit, après 1 à 2 minutes de cuisson, recouvrez-la d'une cuillère à soupe de sucre en poudre, repliez-la en 4 et laissez chauffer quelques secondes pour que le sucre ait fondu. Servez tout de suite. La crêpe n'est ainsi cuite que sur une seule face et 'mi-cuite' de l'autre.
Qu'est ce qu'on met comme garniture ? Du sucre, de la sauce chocolat, de la confiture, des amandes, du sirop d'érable, de la noix de coco, du Nutella, des bananes et du chocolat, du beurre, de la crème de marrons, du miel, de la sauce caramel au beurre salé, de la chantilly ...
Les conseils d'un chef pour réussir ses galettes
Jean-Yves Le Guilloux tient la crêperie Ty Breizh avec son épouse Isabelle Schmidt. À l'approche de la Chandeleur (dimanche), il nous confie quelques trucs pour fabriquer une pâte à galettes parfaite.
Vrai-faux : Le froment, le blé noir et le sarrasin, c'est pareil
Faux. Le froment est une farine. On s'en sert pour les crêpes. Le blé noir, aussi appelé sarrasin, est une herbe. « Je pourrais en faire du whisky, rigole Jean-Yves Le Guilloux, on peut distiller du sarrasin. » Au Ty-Breizh, au port, il en fait surtout des galettes, que les Finistériens appellent des « crêpes salées ».
La pâte à galettes, c'est meilleur avec un oeuf
Faux. « L'oeuf sèche », tranche Isabelle Schmidt, restauratrice alsacienne convertie depuis 2009 à la cuisine bretonne. Pour Jean-Yves, « la pâte, c'est la base : farine de blé noir, eau, sel de mer. Ensuite, tout est dans les proportions : moi, pour 4 litres d'eau, je mets 2,250 kg de farine de blé noir et 150 grammes de sel. Faites vos calculs. »
Mieux vaut battre la pâte que la mélanger
Vrai. La pâte a besoin d'être aérée, il faut donc la battre longtemps. Jean-Yves la met une heure au pétrin. Un temps à adapter à la quantité de pâte. Au batteur électrique, ça va plus vite ? Surtout pas, malheureux ! « Ça oxygénerait trop », précise Isabelle.
Il faut laisser reposer la pâte
Vrai. Et pas qu'un peu ! Une fois battue, la pâte doit reposer au minimum douze heures au frais. « Le blé noir ne contient pas de gluten, donc ne colle pas, explique l'experte Alsacienne. En reposant, la farine se délaye dans l'eau. » Et voilà pour le liant !
Sur le/la bilig, on tourne au beurre salé
Faux. En tout cas, pas Jean-Yves. Certains crêpiers passent leur bilig au beurre salé avant de tourner, d'autres au Saindou. Le truc de Jean-Yves Le Guilloux, c'est le jaune d'oeuf.
Il faut laisser reposer les galettes
Vrai. « Comme un gâteau, c'est meilleur après un peu de repos. Moi, je les laisse une heure et demie avant de les cuisiner. Au beurre salé, cette fois. J'en ajoute même un peu sur la galette au pinceau. » Reste à garnir, à vous de jouer.
La galette de blé noir se sert aussi en dessert
Vrai. Chacun ses goûts ! « J'ai des clients qui me demandent une galette de blé noir avec du caramel... » Sucré-salé, pourquoi pas ?