Votre crêperie au Grand Quevilly
Vous voulez manger une crêpe et vous êtes incapable de choisir entre toutes les crêperies du Grand Quevilly ?
Nous avons listé chacune des 1 crêperies du Grand Quevilly qui proposent un large choix de crêpe en Seine Maritime dans l'objectif de sélectionner la crêperie qu'il vous faut !.
Choisir une crêperie au Grand Quevilly
Conçue dans la plus ancienne tradition culinaire bretonne avec un feu de bois ou pas, la crêpe fait partie des grands classiques de la gastronomie.
Vous aimez la viande ? Viande hâchée, jambon, poulet ou encore lardons vous donnent faim rien que d'y penser ? En venant déguster les crêpes préparées par dans l'une des crêperies grand-quevillaises, de nombreuses recettes combleront vos papilles.
Venez donc essayer les crêpes cuisinées par les 1 crêperies grand-quevillaises : vous verrez qu'elles conviennent à toutes les envies.
Réservez un dîner pour savourer une crêpe au Grand Quevilly en toute simplicité
En utilisant le site de Toutes-les-creperies.fr, réserver une table pour manger une bonne crêpe au Grand Quevilly est très simple : vous n'avez qu'à composer le numéro de téléphone disponible sur la fiche de votre crêperie et vous serez automatiquement redirigé vers votre crêperie.
Une fois votre crêpe de froment ou galette de sarrasin dégustée, n'hésitez pas à partager votre expérience avec votre crêperie pour participer au classement de la Meilleure crêperie grand-quevillaises.
Les crêperies au Grand Quevilly
Découvrez ci-dessous les crêperies présentes au Grand Quevilly suceptibles de préparer votre crêpe ou une galette au Grand Quevilly :
Mangez des crêpes dans les villes proches du Grand Quevilly
Retrouvez ci-dessous la liste des villes où se trouvent des crêperies à même de proposer une large gamme de crêpe ou une galette près du Grand Quevilly :
Quelques lieux incontournables du Grand Quevilly
l'église Sainte-Bernadette, l'ancien Hôtel de ville (centre culturel Marx-Dormoy), la roseraie de Grand-Quevilly, le cimetière militaire britannique, la forêt domaniale de Brotonne, le site des Chantiers de Normandie, la forêt domaniale de Roumare, le stand des fusillés, la grange du grand Aulnay, le jardin des Plantes, le parc naturel régional des Boucles de la Seine Normande, le parc des Provinces, Rouen, le Zénith de Rouen (salle de concert),l'église Saint-Pierre, le parc des expositions de Rouen ...
Il est courant de manger les crêpes à table.
Les crêperies rivalisent d'imagination pour proposer des accompagnements variés pour les crêpes salées (champignons, fromages forts, viandes, etc.) ; le plus populaire reste fait de fromage râpé, d'un oeuf (étalé ou « miroir ») et d'une tranche de jambon, l'ensemble étant dénommé « une complète ».
Traditionnellement, au moment de servir, on ajoute une noix de beurre salé sur la crêpe (sucrée ou salée).
Quant aux crêpes sucrées, elles sont consommées chaudes avec divers accompagnements ou froides, au petit déjeuner, au goûter ou comme en-cas.
En crêperie, les crêpes sucrées sont proposées partout en Bretagne. Concernant le salé, la crêpe de blé noir est proposée en Basse-Bretagne et la galette de sarrasin en Haute-Bretagne.
Les crêpes bretonnes sont traditionnellement consommées avec du cidre, boisson produite abondamment en Bretagne. Le lait ribot est moins consommé que ce que la tradition ne le prétend
La crêpe-dentelle
En 1886, Katell Cornic (née à Kerfeunteun en 1857, décédée en 1917) mit au point une méthode pour faire une crêpe sucrée très fine et très croustillante qui est repliée en petits parallélépipèdes. Après l'avoir vendue elle-même à Quimper et sur la Côte d'Émeraude, elle transmit son savoir-faire à la maison « Les Délicieuses » dirigée par Madame Tanguy. Ce produit a connu une diffusion internationale sous le nom de crêpe-dentelle.
Ce produit est aussi connu sous le nom de Gavottes, marque de crêpes dentelle née à Quimper en 1920, dans le quartier de Locmaria.
Les gavottes seraient une erreur culinaire : un oubli sur une billig (plaque en fonte où l'on fait cuire crêpes et galettes) aurait trop fait cuire une crêpe. La personne décide alors de la plier : la gavotte est née.
La crêpe bretonne est une spécialité régionale de Basse-Bretagne. Faite de sarrasin, elle se consomme salée ; sa version sucrée est majoritairement faite de farine de froment4. En breton, le même terme krampouezhenn, traduit par « crêpe », désigne indifféremment une crêpe sucrée au froment ou une crêpe salée au sarrasin. Le mot « galette » n'est par conséquent pas utilisé dans ce sens dans les régions où le breton était encore répandu au début du XXe siècle, dans l'ouest de la Bretagne ; il y fait plutôt référence à une pâte épaisse (galette de pommes, etc.) ou à un biscuit beurré.
En pays d'Aven on distingue les krampouezh gwinizh du, crêpes de blé noir salées, des krampouezh dous, crêpes de froment sucrées.
La pâte est en principe cuite sur un appareil spécifique appelé billig en breton, nommé galetière en Haute-Bretagne, galettoire, ou encore tuile ; une simple crêpière peut cependant être utilisée. Elle y est étalée en disque à l'aide d'une rozell, rouable ou raclette, sorte de petit râteau.
La crêpe est un mets composé d'une très fine couche de pâte faite à base de farine (principalement de blé ou de sarrasin) agglomérée à un liquide (lait, parfois mélangé à de l'eau ou de la bière). Elle est généralement de forme ronde.
La crêpe est cuite dans une crêpière (ou une poêle ordinaire), ou sur une plaque chauffante, appelée billig en Bretagne, galettoire ou galetière en Haute-Bretagne et tuile (poêle sans rebord ou à rebord très bas) en Normandie.
La crêpe se mange chaude ou froide, sucrée ou salée, comme plat principal ou comme dessert, mais peut aussi constituer un en-cas. Elle est servie telle quelle, agrémentée d'une garniture ou encore fourrée. On la déguste chez soi ou au restaurant, et on en trouve à emporter sur les marchés, lors d'événements festifs, comme dans les fêtes foraines. Selon les habitudes et la garniture, elle peut être d'épaisseur variable.