Votre crêperie en Haute Marne
A la recherche d'une crêperie en Haute Marne ?
Nous avons indexé les différentes crêperies en Haute Marne qui proposent de manger une crêpe en Haute Marne afin de sélectionner la crêperie parfaite pour vous ! Que vous recherchiez à l'intérieur de Saint Dizier ou à quelques kilomètres, retrouvez ci-dessous toutes les crêperies pour manger une crêpe ou une galette à Saint Dizier ou à Chaumont.
Choisir une crêperie en Haute Marne
Vous vouez un culte à la galette végétarienne ou la galette de la mer ? Quoi qu'il arrive, vous trouverez une galette faite pour vous !
Venez donc tester les crêpes cuisinées par les 4 crêperies dans le 52, elles répondent à toutes les envies.
Ainsi vous avez la possibilité de faire votre choix notamment entre Tentation Bilig'n, Bananas Restaurant, Le Kerimen ... ou encore .
Réservez un dîner dans une crêperie dans le 52 en quelques minutes
Grâce à Toutes-les-creperies.fr, déguster une bonne crêpe dans le 52 en réservant simplement par téléphone est vraiment très facile : il vous suffit de composer le numéro de téléphone affiché sur la fiche de votre crêperie et vous serez automatiquement redirigé vers votre crêperie.
Au final, vous aussi, donnez votre commentaire sur la crêperie que vous avez choisi parmi les 4 crêperies dans le département 52 pour faciliter le choix des autres visiteurs et pour faire vivre cet annuaire.
L'anecdote crêpe
Virginie Chichery, 27 ans, vient de lancer un food truck un peu particulier. Sa spécialité ? La crêpe sandwich.
« C'est comme un samoussa, mais c'est de la crêpe, avec des garnitures traditionnelles », explique la jeune femme, qui est présente sur plusieurs emplacements de la région brestoise depuis le début de l'été.
Les crêpes sont soudées sur chacun des bords, ce qui présente plusieurs avantages. « L'intérêt est de pouvoir manger sans couverts. » Et encore : « Ça reste chaud. » Mais comment la crêpe est-elle soudée ? « J'ai un moule de forme triangulaire et c'est la chaleur qui soude la crêpe. Il n'y a pas de colle », précise Virginie.
Les crêpiers bretons ont décidément une imagination débordante. Deux d'entre eux viennent de créer la crêpe ou la galette à l'eau de mer comme le révèle Ouest-France.
Les deux inventeurs de cette crêpe pas comme les autres sont Frédérique et Eric Février. Ils sont tous les deux installés à Plomeur dans le Finistère. Leur toute nouvelle crêpe est composée de blé noir, de sarrasin et donc d'eau de mer. La crêperie où elle est fabriquée à Plomeur.
Selon les crêpiers, cet ingrédient insolite permet d'avoir « des crêpes plus douces, avec une meilleure durée de conservation ». Cette recette évite aussi l'ajout de gluten.
Depuis 2011, un établissement original propose de découvrir la crêpe typiquement japonaise en plein cœur du Marais. Le principe ? Enrouler le dessert en guise de cornet, puis le remplir de diverses garnitures. Enroulée tel un cornet ou en forme de bol, la crêpe est remplie de divers toppings : Cheesecake, Nutella, M&ms, coulis de fruits ou encore chantilly. Gâteaux, bonbons, fruits frais : il y en a pour tous les goûts. Une gourmandise typiquement japonaise que le patron de l‘établissement, Mr. Takahiko Sawada, a souhaité implanter en France. « Au Japon, la crêpe se mange ainsi. La France étant réputée pour être le pays de la crêpe, j'ai pensé que le concept plairait. »
Ce Breton qui fait aimer les crêpes aux Indiens
Installé depuis huit ans à Bombay, Pierre a fait le pari fou de faire découvrir les crêpes aux Indiens. Et c'est un véritable succès.
Le restaurant, à l'identité et à la déco très française, n'emploie que des Indiens. Un choix voulu et prôné par les associés. « Ce que nous voulons, c'est avoir une entreprise indienne. Nous avons formé tous nos employés à l'art de la crêpe mais pas que. Nous leur avons aussi appris à envoyer des mails, à gérer les stocks. », affirme Pierre.
Dès le début, la crêperie devient vite prisée par les Bombaytes et les stars de Bollywood. En cinq ans, ils ouvrent trois restaurants et s'apprêtent aujourd'hui à en ouvrir un quatrième. Au total, ils emploient 70 salariés et leur chiffre d'affaires s'élève à deux millions d'euros.
Marié à une Indienne, Pierre se voit rester encore quelques années en Inde. Mais il envisage de retourner en Bretagne pour faire découvrir à sa femme « cette si belle région ».